(1) - La Nouvelle-Calédonie (Côte Orientale). Paris ; Plon, 1871.

 

(2) - Henri Courmeaux : Rapport de Mission en Nouvelle-Calédonie et aux Nouvelles-Hébrides (15 juillet 1884). A.N.S.O.M., carton n° 180.

 

(3) - Le banc de l'Infernal, appelé plus tard banc Infernal.

 

(4) - Le Moniteur lmpérial de la Nouvelle-Calédonie du 27 novembre 1859.

 

(5) - Aujourd'hui, la baie de la Moselle.

 

(6) - Le Moniteur de la Nouvelle-Calédonie du 20 mai 1866.

 

(7)- Composition de la commission : Ferriez, sous-commissaire de la marine, chef du bureau des Affaires européennes, président ; De Bourzac, Gerber, Higginson, Th. Martin, Rolland,commerçants à Nouméa ; A. Le Boucher, employé du secrétariat colonial remplissait les fonctions de secrétaire. Ralphassistait à la séance.

 

(8) - On l'appelait aussi "quai au charbon" parce qu'on y débarquait le charbon que l'on entreposait non loin de là ; les plus flagorneurs disaient aussi “le grand quai”. Il se situait dans le prolongement de la rue Inkermann, c'est-à-dire sur l'emplacement du quai actuel, au niveau de la rue Anatole France.

 

(9) - Arrêté publié dans le Moniteur du 27 décembre 1868.

 

(10) - Actuellement rues de Verdun et Anatole France.

 

(11) - À peu près au niveau de l'actuel carrefour des rues de la République et du Général Galliéni.

 

(12) - C'est-à-dire, goudronnées.

 

(13) - Une drague de fabrication locale avait ramené au début de septembre 1887, 10 m3 de matériaux dont deux tonnes de charbon ; et en février 1888, 4 000 m3 dont quarante tonnes de charbon.

 

(14) - L'autorisation de construire un dock avait été refusée aux Messageries maritimes ; il est vrai que la compagnie de navigation demandait la concession gratuite du terrain sur lequel il serait construit. Mais en juillet 1884, une adjudication pour la construction d'un hangar sur le quai ne donna aucun résultat parce que le cahier des charges était dissuasif : il ne garantissait la jouissance de la construction à l'adjudicataire que pour une durée de six mois. Une nouvelle adjudication en août ne donna pas plus de résultat. On modifia alors totalement les termes du cahier des charges mais une mise en adjudication au printemps de 1885 ne connut pas plus de succès.

 

(15) - Actuellement rue Jean Jaurès.

 

(16) - Appelée "butte Constantine” ou “camp des Moineaux" ; plus tard Roger évalue ces terrains à 350 000 F.

 

(17) - Tout ceci est tiré d'un article paru dans L'Avenir de la Nouvelle-Calédonie du 1er juin 1888.

 

(18) - Il étoffa alors sa demande, comme il l'expose dans son journal le 18 juin 1888.

 

(19) - On a pu constater plusieurs fois depuis qu'il ne s'agit pas là d'un faux problème. Lors des périodes de fortes pluies, le centre de Nouméa se trouve parfois inondé car les eaux d'écoulement ne peuvent être évacuées par les canalisations des égouts qui sont peut-être d'un diamètre insuffisant mais surtout parce qu'elles ne présentent pas une pente assez accusée vers la mer.

 

(20) - 900 m3 de moellons, 400 m3 de sable, 60 m3 de chaux.

 

(21) - L'Avenir de la Nouvelle-Calédonie du 24 septembre 1889.

 

(22) - Conseil général, séance du 12 octobre 1889;

 

(23) - Conseil général, séance du 31 octobre 1889.

 

(24) - Un commerçant de Nouméa nommé Gerolimo Draghiceviz.

 

(25) - L'Avenir de la Nouvelle-Calédonie du 11 février 1890.

 

(26) - A côté de la spéculation conduite par Alcide Desmazures concernant la construction du quai, dans laquelle Noël Pardon aurait eu des intérêts, le gouverneur aurait négocié avec des entrepreneurs australiens pour aménager un bassin de radoub à l'île Nou.

 

(27) - Le 15 mai 1891, on pouvait lire dans La France Australe, le journal des "grandes compagnies", pour le moins peu hostile à Noël Pardon : "A l'arrivée de chaque courrier, il se produit des difficultés provenant de l'insuffisance actuelle du quai. Le débarquement des marchandises ne s'opère pas avec assez de rapidité ; la voie publique est encombrée ; les courriers n'ont pas la place à laquelle ils ont droit. Bref, nous ne sommes pas convenablement outillés".

 

(28) - Ce dernier tronçon devait finalement mesurer 43,50 m.

 

(29) - En 1874, le mètre carré de terrain au voisinage du quai se vendait 33 F ; 26,50 F en 1876 ;16,50 F en 1877 ; mais 46 F en 1884.

 

(30) - À la pointe Constantine.

 

(31) - À l'angle formé actuellement par les rues de la Somme et Jules Ferry.

 

(32) - La Bataille du 3 mars 1894.

 

(33) - La Bataille du 3 mars 1894. Cf. également le numéro du 5 avril.

 

(34) - La Bataille du 17 avril 1894.

 

(35) - En septembre 1896, le Conseil municipal discuta sur l'opportunité de construire une estacade de 120 m de long sur 35 m de large entre la rue de l'Alma et la rue Marignan ; cette estacade aussi resta à l'état de projet.

 

(36) - Prolongement ouest de l'actuelle avenue de la Victoire.

 

(37) - Cf. une notice biographique du capitaine Vidal dans Calédoniens de P. O'Reilly.

 

(38) - Auparavant, pointe Duroc, île Nou.

 

(39) - Actuellement, rue Georges Clémenceau.